Un dimanche frais à Toronto......

Publié le par Stéphanie

 

Dimanche 26 février 2006, soleil, température: - 11, facteur vent : -22

 

 

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       Malgré le froid, j'entreprends une balade à High parc, à l'ouest de Toronto. Mais je m'équipe: doudoune, collant sous le jean, bottes fourrées, doubles gants, bonnet, grosse écharpe.......

       Sébastien m'accompagne.

       Il fait froid, le vent est glace. On fait un tour du parc. A l'abri du vent, et au soleil, le temps est agréable. Mais a la 1ere rafale, aie aie aie...........

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       L'étang est gelé et couvert de neige. C'est joli. Mais il ne faut pas s'attarder trop longtemps pour les photos.

 

 

 

 

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       Au retour, nous tentons un raccourci. Pas une bonne idée. Nous passons sous la route ou nous voulions prendre le street-car et nous retrouvons sur les bords du Lac Ontario, très moche de ce côté de la ville. Il nous faut alors marcher 200 m sur le quai, en plein vent, afin de rejoindre la passerelle pour piétons qui nous amène à la station de street-car. Le quartier est vraiment laid. Jamais vu un ciel aussi strie, sauf au coin de Spadina et Queen.

 

 

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        Nous stoppons a Spadina pour aller prendre un necessaire chocolat chaud au Second Cup Cafe.

 

        Ensuite direction le cyber-cafe pour une demi-heure avant d'aller manger dans une creperie sur Queen st. "Le cafe crepes". Bien que les tableaux decorant les murs soient typiquement parisiens, on ne s'y trompe pas. Le chef n'est pas francais. La deco fait plutot bar americain des 70's, les serveurs et crepiers sont tous torontois, la pate des crepes salees et sucree est la meme, et  la garnison est adaptee aux estomacs nord-americains. Ca vaut pas les bretonnes, mais ca depanne.

 

        Ensuite, cine: Firewall. Pas un grand film, mais au moins j'ai pu suivre.

        Pas comme pour Brokenback Montain qui, j'en suis sure, etait un tres bon film, mais dont je n'ai pas compris un traitre mot des dialogues entre les deux cow-boys, a l'accent texan tres prononce, et dont l'un ouvrait a peine la bouche pour parler. Meme pas possible de lire sur les levres. Y'a rien de plus frustrant que de passer 2h dans une salle de cine, ou les autres rient ou s'offusquent de ce que se raccontent les protagonistes, alors que l'on reste de marbre, n'ayant pas meme pu reconnaitre un mot parmis tant d'autres.

 

        Retour a Saulter St. Un peu moins froid dehors, le vent est tombe, comme generalement le soir. Direct dans ma chambre, et dodo, 1h du mat.

 

 

 

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S
je suis tes aventure régulièrement sur ton blog<br /> stephan<br />  <br /> ça permet d'avoir de tes nouvelles quand on peut pas communiquer, c'est très important. Tu vis un aventure à fond, c'est grisant profite t'as raison!
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